Lope cocu

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il y a 8 ans

Mon mari est devenu mon esclave ainsi que celui de mon amant. Après une soirée mémorable où il a découvert son penchant pour la soumission, voilà la suite.

Le lendemain nous lui mîmes les cartes en mains, désormais jacques viendrait vivre à la maison et mon mari nous servirait de bonne à tout faire, il n’aurait bien évidemment plus le droit de me toucher qu’avec la langue, spécialement pour me nettoyer, il devrait être en permanence en tenue de soubrette et n’aurait plus le droit que de nous appeler maître et maîtresse. Pour sa part, nous l’appellerons Eliane.

Après un court moment de réflexion, mon mari accepta à mon grand soulagement, j’avais en effet craint un instant qu’il ne se rebellât, mais son goût pour la soumission fut le plus fort.

Pour tester sa réelle volonté de soumission nous lui imposâmes une sorte de bizutage. A genoux il devait implorer la permission de jacques de lui lécher les couilles.

  • Maître puis-je vous lécher les couilles ?

  • Plus poliment salope !

  • Maître, s’il vous plait, puis-je vous lécher les couilles ?

  • Vas-y salope !

Mon mari se rapprocha à quatre pattes de Jacques qui était assis dans un fauteuil, il lui lécha les couilles les avala entièrement les aspira, tout cela sous les yeux de sa chère épouse.

Voulant corser l’affaire je lui intimais l’ordre de lui lécher le trou du cul.

  • Lèche-lui le cul, tu n’es bon qu’à ça maintenant, lèche lui le avec la langue sortie comme on lèche une glace, voilà maintenant fais pénétrer ta langue dans son cul, tu vois c’est bon tu lèches le trou du cul de mon amant, tu sens bien son odeur, son goût, et tu vois ça lui plait, tu le fais bander et après il me baisera, regarde bien, regarde bien ce que tu n’auras plus jamais le droit de faire, ça te plait ?

  • Oui maîtresse, je suis votre esclave dévoué.

  • Dis je suis votre esclave à peine bon à lécher les chattes et les trous du cul.

  • Oui, je suis votre esclave à peine bon à lécher les chattes et les trous du cul.

  • Bon, maintenant tu vas prendre Jacques par la queue et l’amener à l’entrée de ma petite chatte !

Mon mari s’exécuta sagement et me présenta la bite de Jacques dure et frémissante devant mon minou.

  • Dis-lui maintenant que tu lui offres ma chatte !

  • Monsieur je vous offre la chatte de ma femme, dorénavant il n’y aura plus que vous ou toute personne que vous désignerez à vous en servir, elle me sera interdite et je n’aurais plus le droit que de la nettoyer avec ma langue.

J’étais surprise qu’il ait pris une telle initiative, mais en même temps très satisfaite, il était donc parfaitement décidé à nous servir d’esclave sexuel.

-C’est bien, tu as compris quelle serait ta condition dorénavant.

-Oui madame.

Sur ce, Jacques d’un puissant coup de rein se débarrassa de mon mari et me pénétra jusqu’à la garde.

Je ne mis pas longtemps à jouir. Mon mari comprenant sa tache me nettoya le minou de la semence de mon amant.

  • Remercie-le !

-Merci monsieur.


Après quelques jours passés, Jacques et moi décidâmes de tester un peu plus mon mari. Nous mîmes plusieurs heures à définir un scénario qui, s’il l’acceptait ferait accéder définitivement Eliane à son statut d’esclave dévoué.

Nous lui expliquâmes que pour qu’il soit accepté il devrait nous obéir en tout sans poser la moindre question et sans hésitation aucune. La moindre rebiffade et je le quitterai.

Mon mari nous regarda tout penaud, pesa le pour et le contre et au moins autant par goût de la soumission que par peur de me perdre, il accepta.

-Bien.Tu fais ta valise nous partons dans deux heures pour le Maroc.

-Hein ?

-On a dit que tu ne poses pas de question !

Arrivés à Tanger nous nous installâmes à l’hôtel. Nous avions pris une seule chambre, ce qui fit tiquer un peu le réceptionniste, mais moyennant un généreux pourboire il ne posa pas de questions. C’est que nous tenions à avoir Eliane sous la main.

Nous passâmes un coup de téléphone et sortîmes de l’hôtel direction le souk, Eliane n’en menait pas large. Nous entrâmes dans une boutique et là un homme nous accueilli.

-Alors c’est elle ? Demanda t’il en désignant Eliane.

-Oui.

-Elle est au courant ?

-Non, mais elle a promis de tout accepter.

Mon mari était de plus en plus inquiet, se demandant ce qui allait lui arriver. Et comprenant que nous avions tout prépar2 à l’avance Jacques et moi.

-Bon alors comme convenu tu t’engages à tout accepter sans rechigner ?

-Oui madame.

-Absolument tout ! Précisa Jacques.

-Oui monsieur.

-Bon à partir de là nous allons t’expliquer. Comme on te l’a déjà expliqué Jacques et moi, on te met à l’épreuve pour voir si tu seras un esclave fidèle. C’est Jacques qui en a eu l’idée, nous allons aller dans l’arrière-boutique et là des hommes vont entrer et tu devras faire tout ce qu’ils désireront.

Eliane pâlit brusquement, il n’avait jamais eu le moindre penchant pour les hommes, et il se doutait bien maintenant de ce qui allait se passer. Ses jambes tremblèrent, mais quand il vit le regard dur que je lui lançais, il capitula et ne put répondre que :

-Oui madame, j’accepterai tout.

Une fois dans l’arrière-boutique, un arabe habillé d’un burnous noir entra. Sans un mot il attrapa mon mari par les cheveux et le força à s’agenouiller, il souleva son burnous dévoilant un membre épais déjà à moitié bandé et dit Suce !

Tout en me regardant dans les yeux, Eliane prit le membre dans sa main et le porta à sa bouche. Abdul força d’un coup et le membre s’engloutit jusqu’à la glotte. Puis il fit des allers et retour rapides obligeant Eliane à avaler chaque fois un peu plus ce membre.

-Passe bien la langue dessus ! Ordonna Jacques.

Eliane aspirait, suçait, léchait cette bite qui prenait des proportions de plus en plus énormes. Abdul se fit aussi lécher les couilles, puis il retourna mon mari et lui baissa son pantalon.

-Maintenant tu vas la prendre dans le cul Salope !

D’entendre mon mari traité de cette façon et surtout sous les yeux de mon amant, me faisait défaillir. Pour humilier un peu plus celui-ci je regardais Jacques, et tout en lui disant je t’aime je l’embrassais amoureusement sur la bouche.

Pendant ce temps mon cocu se faisait limer la rondelle, Abdul se faisait plus violent, l’attrapant sauvagement par les cheveux. Tirant sa tête vers l’arrière, il lui renversa la tête et essaya de l’embrasser, mon mari se défendait, l’air dégoûté. Devant mon regard il comprit qu’il devait plier et se laissa embrasser, mais sans passion, il se refusait pratiquement à la bouche de cet homme. Abdul lui enfonçait sa langue dans la bouche aussi sauvagement que sa bite dans le cul. Je crois bien qu’Eliane préférait encore la bite que la langue, au retour il allait m’entendre, il devait TOUT accepter ! Abdul lui claquait les fesses avec f***e tout en l’insultant, jusqu’au moment ou dans un dernier sursaut il sortit sa queue du cul d’Eliane et lui déchargea une grosse quantité de sperme sur les fesses, puis lui étalant sa crème sur les dos et les fesses. Il passa devant Eliane et lui fit nettoyer ses doigts avec la langue.

Ne laissant aucun répit à Eliane, un grand noir pénétra à son tour dans la pièce, il sortit sa bite, et mon mari étant encore appuyé à une table, le cul bien dressé, il l’encula instantanément. L’engin était aussi d’un très bon calibre même supérieur à celui d’Abdul, qui pourtant était déjà de très bonne taille, et le cul d’Eliane en fut une fois de plus élargi. Mamadou qui n’avait pas dû tirer son coup d’un moment ne fut pas long à décharger un puissant jet de foutre sur le cul de mon mari. Le noir avait rentré sa bite et était déjà reparti que son foutre coulait encore dans la raie d’Eliane et sur son trou du cul.

C’est dans cette position que je lui dis.

-Tu vois désormais c’est ce qui t’attends, tu n’auras plus jamais le droit de me pénétrer ni aucune autre femme d’ailleurs, tu n’auras plus de sexe mais une bouche et un cul que tu devras t’employer à satisfaire les hommes que Jacques et moi te présenteront.

-Bien madame.

-Ce soir nous t’habillerons en fille et nous te présenterons celui qui sera ton amant pour la durée des vacances.

-Bien madame.

Sur ce, nous rentrâmes à l’hôtel où Jacques et moi fîmes l’amour devant Eliane attachée à genoux sur la table de la chambre pour qu’il ne loupe rien du spectacle.

Une heure après nous décidâmes de faire signer à Eliane le nouveau contrat d’esclavage que Jacques et moi avions concocté. Par ce contrat, j’offrais en réalité mon mari à Jacques.

Quelle volupté que d’offrir comme esclave son mari à son amant ! Chez un couple normal un mari n’accepte jamais l’amant de sa femme, chez moi mon mari non seulement devait accepter mon amant, mais il devait en plus lui appartenir et lui obéir.

Le contrat comprenait dix clauses susceptibles d’évoluer selon nos besoins à Jacques et à moi.

1 Je ne m’adresserai plus à Jacques et à Carole que par madame et monsieur ou maître et maîtresse.

2 Il ne me sera pas permis de leur adresser la parole en premier.

3 Pour eux je deviens Eliane petite salope n’ayant plus aucun droit sur ma femme mais que des devoirs.

4 Dans le privé ou dans les soirées que mes maîtres organiseront je devrai avoir la tenue et les partenaires que mes maîtres me désigneront.

5 Il me sera interdit de jouir sauf permission exceptionnelle.

6 Le moindre écart de conduite sera sévèrement réprimé par mon maître Jacques ou par tout autre personne selon sa volonté.

7 Mon maître aura préséance sur ma maîtresse. En cas de désaccord entre eux sur la conduite à avoir envers ma personne, ce sera toujours lui qui décidera en fin de compte de mon sort.

8 Quand madame pour une raison ou une autre ne sera pas là, je devrais la remplacer auprès de monsieur, me maquiller comme elle, mettre une perruque avec sa coupe de cheveux (je suis blonde aux cheveux longs), ses habits, et lui faire l’amour comme madame aurait pu lui faire. Il est toutefois stipulé que ce ne sera que sexuel et qu’en aucun cas je ne pourrais rivaliser avec madame, restant même en ces moments l’esclave de monsieur.

9 Je devrai accepter que madame ait d’autres partenaires que monsieur, hommes ou femmes, partenaires que monsieur aura désigné.

10 D’autres actions pourront m’être imposées selon les caprices de monsieur ou de madame, caprices que je devrais accepter de la même façon que le reste sous peine d’être exclu.

-Tu sais dis-je à mon mari que tu peux refuser tout cela, rien ne t’oblige à dire oui. Après tout, tu peux redevenir comme avant, sache que je ne t’en voudrais pas. Sache aussi que par contre si tu t’arrêtes ici plus jamais je ne te proposerais quelque chose de ce genre, nous reviendrons à la vie sexuelle morne et sans piment que nous avions avant. Je veux te dire que j’apprécie énormément ce que nous faisons en ce moment, que je n’ai jamais été aussi excitée de ma vie et que j’ai follement envie de continuer. Te voir te faire prendre par ces deux hommes a été le moment le plus hard sexuellement de ma vie, et j’ai bien envie d’en vivre de nombreux autres. J’ai l’impression que tu apprécies aussi et je peux te garantir que Jacques est comme moi. Maintenant c’est à toi de décider. Si tu acceptes, c’est la dernière fois que nous te laisserons décider, après la volonté de Jacques sera la tienne. Réfléchis bien.

Apres un long moment de réflexion où mon mari devait peser les différents aspects de la situation, il nous répondit :

-Evidemment ce que tu me demandes est énorme, d’un autre côté avec ce que j’ai accepté cet après-midi, j’ai dû faire le plus dur, de plus j’ai toujours eu envie d’être ton esclave et je comprends que tous les maris n’ont pas ma chance de voir réagir leur femme de cette façon. Ce que je n’avais pas prévu c’est qu’il y ait un homme dans l’affaire, d’autant que je n’ai jamais aimé les hommes mais ça ne m’en humilie que plus, et je crois qu’au vu de ces derniers jours j’ai la confirmation d’aimer ça. Oui je crois être né pour être ton esclave, oui j’ai aimé être humilié. Pour moi aussi, ce moment a été le plus intense de ma vie sexuelle, je crois que plus tu m’ordonneras de faire des choses qui me dégoûtent, plus je vais aimer en fait. D’être principalement l’esclave de Jacques au lieu d’être uniquement le tien, pimente finalement un peu plus le contrat.

Alors OUI j’accepte. J’Accepte d’être l’esclave de Jacques, j’accepte de lui appartenir totalement, de me plier à ses quatre volontés, d’être soumis et humilié par lui, j’accepte tout de ce contrat et tout ce que Jacques, mon maître absolu désormais, exigera de moi.

-J’avoue que cet après-midi je ne me suis pas donné à fond, je l’ai bien vu dans tes yeux, notamment quand je rechignais à embrasser Abdul. Dorénavant j’offrirais tout mon corps et toute mon âme à tous les Abdul que vous me présenterez.

-Bon puisqu’il en ait ainsi, les dés sont jetés. Et réemployant le ton sévère de la maîtresse que j’avais cessé d’être quelques instants, je lui intimais l’ordre d’aller s’habiller. Ce soir nous allions en boite de nuit où j’allais lui présenter l’homme qui allait être son amant la durée de notre séjour.

-Fais-toi belle lui susurrais-je pleine d’ironie.


Sur son lit étaient étendus une robe longue rouge vif, largement fendue sur le devant, des escarpins, une perruque, un collier, des bracelets et boucles d’oreille et un nécessaire de maquillage.

-Ne t’inquiètes pas, la boite où nous allons est habituée à recevoir des créatures comme toi, il faut que tu sois belle pour Abdul.

En effet nous avions décidé d’offrir mon mari à Abdul. Ce dernier avait réellement pris plaisir à se farcir mon mari contrairement au noir qui n’avait fait cela que pour l’argent. De plus Abdul avait ce penchant naturel pour la domination que nous recherchions avec Jacques pour mon mari.

-C’est pour cela que nous avons pris une chambre à deux lits, nous voulons Jacques et moi profiter du spectacle de ma petite Eliane faisant l’amour avec Abdul.

-Il faut bien aussi que tu comprennes que tu devras y mettre toute ta passion et ne reculer devant rien.

-Je vous promets maîtresse que je ferai l’amour avec Abdul comme si j’étais sa vraie femme.

-Bien ? Tu auras intérêt à le prouver, sinon Jaques se chargera de te corriger.

-Oui maîtresse.

Une fois habillée, notre Eliane ressemblait à une véritable petite femme.

-Ca va, je crois que tu vas bien plaire à Abdul.

Jacques pris la parole :

-En attendant, comme nous sommes en avance, tu vas me lécher les pieds, ils ont besoin d’être relaxés après cette dure journée.

Sagement et sans rechigner mon mari se mit à genoux et pendant que je me préparais moi-même, il lécha avec application les pieds de son maître. Celui-ci excité par la situation du mari de sa maîtresse lui léchant les pieds à genoux, sortit sa bite de son pantalon et demanda une pipe à mon mari. Pendant que je finissais de me coiffer, Eliane pompa goulûment le membre de Jacques jusqu’à ce que celui-ci explose au fond de sa gorge. Eliane avala tout comme Jacques lui demandait.

-Et ! Laissez-m’en un peu !

-Ne t’en fais pas Carole, répondis Jacques, je suis tellement excité que je pourrais te faire l’amour toute la nuit.

-J’espère bien mon chéri, et je l’embrassai tendrement sur les lèvres.

Il est temps d’y aller maintenant !

Nous prîmes un taxi qui nous emmena directement au Marrakech. La boite ressemblait à toutes les boites européennes, mis à part que la moitie de la clientèle était arabe. La deuxième moitie était composée de couples à la recherche d’un partenaire local et de créatures comme notre Eliane. Aucune femme du cru autre que les serveuses.

Nous fûmes vite rejoints à la table que nous avions réservée par Abdul. Il était toujours vêtu de son burnous noir et ne semblait pas avoir autre chose dessous. Il s’assit d’emblée à cote d’Eliane qu’il s’appropria en lui passant le bras autour des épaules. Ayant compris la leçon et désirant montrer son dévouement, Eliane prit de lui-même l’initiative d’embrasser Abdul. Certes ce ne fut qu’un chaste baiser délicatement posé sur les lèvres, mais par cela il nous montrait son acceptation.

Apres avoir bu quelques verres, Abdul prit Eliane par la main et nous allâmes danser tous les quatre sur la piste. Cette dernière était déjà bien remplie, et nous pûmes apercevoir les couples qui commençaient à se former. Abdul se frottait discrètement à Eliane, ils s’échangeaient de courts baisers et de petites caresses. L’attitude douce d’Abdul contrastait avec la brutalité dont il avait fait preuve quelques heures auparavant. Je lui expliquais qu’il pouvait bien avoir l’attitude qu’il désirait, que cela ne nous choquait pas, bien au contraire. Il me répondit de ne pas m’en faire, plus tard les fesses d’Eliane allaient chauffer. Rassurée, je les laissais se bécoter doucement.

Vint le tour des slows, et Abdul se colla complètement contre mon petit mari. Celui-ci se lova contre lui et posa sa tête sur son épaule. Puis Abdul embrassa Eliane à pleine bouche. Celle-ci se laissa faire. Je pouvais voir leurs langues se nouer, leurs bouches s’ouvrir, leurs salives se mélanger. Eliane était parfaitement consentante. Elle avait presque l’air d’y prendre goût. Ou alors était-ce pour ne pas me décevoir. Il faudrait que je vérifie cela par la suite.

Apres plusieurs séries de slow entrecoupées de pause boisson à notre table, nous décidâmes de rentrer à l’hôtel.

Nous étions tous les trois légèrement pompettes, seul Abdul ne buvant pas d’alcool étant resté sobre.

Arrivé dans la chambre, Abdul se précipita sur Eliane et l’embrassa voracement.

-Alors, il parait que tu ne voulais pas m’embrasser cet après-midi ?

-Excusez-moi Abdul, j’espère que vous me pardonnez.

-Il en faudra beaucoup pour que je puisse te pardonner lui répondit sèchement Abdul.

Sur ce il recommença à embrasser mon mari. Ce dernier lui rendait ses baisers avec une fougue et une ardeur qui augmentaient avec le temps. Ils durent bien s’embrasser de la sorte plus de vingt minutes. Leurs caresses les portèrent naturellement sur le lit où Abdul tout en continuant de rouler de pelles à Eliane lui retroussa la robe atteignant la culotte de soie rouge qu’il avait mise pour l’occasion. Apparemment le toucher de la soie plut à Abdul. Ne restant pas à la traîne, Eliane avait entrepris de lui enlever le burnous, nous confirmant le fait qu’Abdul n’avait rien dessous.

Une énorme queue turgescente, encore plus grosse que cet après-midi, certainement suite à l’excitation des danses et caresses de la boite, apparut. Une queue comme seuls les noirs ou les Nord-africains ont, un énorme cylindre de chair aux veines apparentes, au gland violacé et circoncis. Deux grosses couilles bien pleines complétaient le tableau.

Abdul se dressa sur les genoux et Eliane lui administra une fellation pleine d’amour. Elle aspirait la tige, la léchait, la caressait, lui embrassait le gland, salivait dessus et ravalait tout après, faisant courir à sa langue un ballet expert dont je ne l’aurais jamais crue capable. Elle se déchaînait, mettant tout son cœur, toute son âme à l’ouvrage, voulant compenser la faute de cet après-midi. Le corps d’Abdul se contracta et ne pouvant plus se retenir devant une telle pipe il déchargea tout son jus dans la bouche de mon mari. Ce dernier vida tout le sperme sur la queue de son amant marocain. J’allais le lui reprocher, quand Eliane tout en regardant Jacques, et non plus moi, droit dans les yeux ré engloba la queue luisante et aspira tout le sperme. Nous le vîmes déglutir et il ne rouvrit la bouche qu’une fois la queue marron bien nettoyée.

Il fut tout fier quand Jacques le félicita :

-Je suis content de toi, Eliane, tu as l’air d’avoir compris ce que devait être ton attitude afin de me faire plaisir ainsi qu’à Carole.

De voir mon mari tout heureux de satisfaire ainsi mon amant en avalant le sperme d’un troisième homme me fit dire :

-Et maintenant, il s’agira de t’occuper de ta petite femme adorée Jacques, mon chéri.

-Tout de suite mon amour.

Et Jacques me baisa longuement sous les yeux de mon mari et de son amant musulman.

Devant ce spectacle je les vis bander tous les deux, et Abdul tout en ré embrassant mon mari le coucha sur le dos et s’allongea dessus. Eliane tout naturellement écarta les cuisses, et alors qu’Abdul la pénétrait d’un coup sec, elle referma fermement ses jambes derrière son dos et aspira sa langue avec avidité.

Je l’entendis même lui dire :

-Baise-moi mon amour.

Lui était-ce destiné à lui Abdul, ou alors était-ce à moi, je n’en saurais pas davantage, jouissant à mon tour sous les coups de boutoir d’un Jacques déchaîné comme jamais.

Le lendemain matin, je me dirigeais vers mon mari pour ma petite toilette intime. Abdul dormait à côté de lui. Je l’enfourchais et collais ma petite chatte ruisselante de sperme sur sa bouche. Il me la nettoya jusqu’à la dernière goutte. Je remarquai alors qu’Abdul s’était réveillé et ne perdait pas une miette du spectacle de ma chatte en gros plan.

-Tiens me dis-je, ainsi il a l’air d’aimer aussi les femmes. Il faudra penser à lui demander. En effet, pourquoi ne pas goûter moi aussi à cette si belle queue.


Pour corser un peu plus cette petite semaine, nous décidâmes de ramener mon mari dans la boutique du premier jour. Abdul fut chargé de recruter quatre de ses amis. Cette fois nous désirions un épisode plus violent que la dernière fois. Nous expliquâmes à Abdul qu’étant venus au Maroc pour dresser mon mari, les choses ne devaient pas se passer non plus pour lui comme une lune de miel. Abdul avait parfaitement compris, et avec un ricanement prometteur il nous assura que nous ne serions pas déçus.

Après en avoir informé Eliane, celle-ci nous répondit que puisque telle était notre volonté elle obéirait. Il s’inquiéta un peu quand je lui dis que cette fois ce serait plus violent, mais après avoir interrogé Jacques du regard, il nous assura qu’il serait à la hauteur.

Depuis le début de la semaine, nous n’habillions plus Eliane que d’un burnous comme celui d’Abdul, ce qui nous permettait à la fois de faire plus couleur locale, mais surtout ne portant aucun dessous, c’était plus facile de faire prendre mon mari par Abdul à tout moment et presque dans n’importe quel lieu. Ainsi vêtue, le soleil lui brunissant son teint et les cheveux naturellement ondulés, elle pouvait passer pour une beauté locale. J’en fis la remarque à Jacques qui me répondit

-Puisqu’il en est ainsi nous n’avons qu’à la circoncire, elle fera encore plus locale.

Charmée par cette idée, les queues circoncises que nous voyions depuis deux jours m’ayant beaucoup plus, je lui répondis qu’après tout pourquoi pas, nous n’aurions qu’à profiter de la journée du lendemain.

C’est donc uniquement vêtu de son burnous et de sandales de toiles que nous ramenâmes Eliane au lieu de rendez-vous. Au fur et à mesure que nous pénétrions dans le souk, le visage de mon mari palissait. Et ce ne sont pas les moqueries de Jacques qui étaient faites pour le rassurer.

Eliane fut immédiatement introduite dans l’arrière-salle.

Abdul et ses quatre amis s’y trouvaient déjà. Il y avait le noir de la dernière fois avec un autre noir et deux arabes plus âgés qu’Abdul. La cinquantaine environ et tous les deux moustachus, ils étaient aussi costauds l’un que l’autre. Toutefois, l’un avec son crâne entièrement chauve paraissait le plus cruel des trois.

-Chouf la petite salope que je vous ai amenée. Elle est là pour nous, et a ordre de nous obéir en tout. Sa femme et son amant ont décidé de la dresser pour qu’elle ne se rebelle plus, et qu’elle les serve sans rechigner.

-Allez-y, elle est à vous pour l’après-midi. Faites en ce que vous voulez, leur dis-je.

-C’est sur, madame, on peut en faire ce qu’on veut ?

-Absolument répondit Jacques, c’est une petite pute que nous vous offrons.

Les cinq burnous furent vite enlevés et les cinq hommes entourèrent promptement Eliane. Le chauve le pris violemment par les cheveux et le mit à genoux, il lui ouvrit la bouche en l’attrapant par la mâchoire et y enfonça sa bite dans la gorge.

-Suce putain ! Suce petite putain française !

Pendant que mon malheureux mari se faisait violer la bouche par Rachid, les quatre autres le tripotaient, le pinçaient, lui tiraient les tétons lui arrachant des larmes aux yeux. Quelques doigts s’aventurèrent bientôt vers son cul et le pénétrèrent sans précaution.

Eliane s’évertuait à sucer consciencieusement la bite de Rachid, mais ce dernier ne l’en remerciait pas pour autant, tirant toujours plus violemment sur ses cheveux, lui enfonçant sans ménagement son gros membre dans la bouche. Eliane en dégoulinait de salive le long de la hampe de chair, il aspirait cette bite, l’avalait profondément allant de plus en plus vite, espérant sans doute finir son calvaire plus rapidement. Effectivement, Rachid ne fut pas long à s’arc-bouter, puis prenant la tête d’Eliane à deux mains, il lui enfonça sa bite tout au fond de la gorge et nous pûmes le voir tressaillir de tout son corps. Sa bite complètement enfoncée se vidait directement dans le fond de la gorge d’Eliane ; il devait avoir une incroyable quantité de foutre dans les couilles, car il se vida ainsi une longue minute. Repu il sortit sa bite et Abdul prit immédiatement la place laissée vacante.

Ils placèrent Eliane le buste sur une table, le cul bien offert et la bite D’Abdul dans la bouche. Le premier noir s’approcha alors par derrière et embrocha d’un grand coup de reins la croupe qu’il avait déjà connue deux jours auparavant.

Nous jouissions d’un spectacle surréaliste, le petit cul bien blanc et bien rasé d’Eliane et la grosse bite noire s’y enfonçant et ressortant à intervalles réguliers étaient saisissant de contraste.

Bientôt le deuxième noir pris la place de son ami dans le cul accueillant de mon mari, et Abdul ayant déchargé dans sa bouche laissa la place libre au premier qui goûta ainsi cette bouche devenue experte en l’espace de trois jours.

Les queues se succédaient dans les deux trous d’Eliane, qui le prenait par le cul, qui par la bouche, on lui frappait violemment les fesses, ses seins étaient rouges des multiples tortures appliquées, mais Eliane, brave, tenait le coup, elle y prenait manifestement plaisir, sa queue était bandée depuis le début et restait raide.

-Alors ma petite pute, ça te fait quel effet de te faire traiter ainsi sous les yeux de ta femme ?

-Je suis là pour vous faire plaisir arriva t’il avec peine à articuler, tant sa bouche était rarement libre.

-Je ne te demande pas ça salope, je te demande quel effet ça te fait !

-Je crois que j’aime ça maîtresse.

Rachid s’installa sur la table, il était allongé sur le dos, il replia ses jambes sur le ventre, rehaussant ses fesses, et ordonna alors à mon mari

-Maintenant tu vas bien me lécher le cul petite pute !

-Oui, lèche-lui le cul comme une pute que tu es maintenant ajouta Jacques.

Et la langue d’Eliane s’enfonça alors dans ce trou du cul, en lécha les poils noirs, les plis de l’anus rentrant dans les parois anales comme pour les laver, sa langue entrait et ressortait comme une petite bite.

-Comme ça a l’air de lui plaire à cette salope, vous vous ferez tous lécher le trou du cul leur dis-je.

Toute l’après-midi se passa ainsi, le cul de ma petite pute était écartelé, sa bouche forcée, les baffes et pincements multiples pleuvaient, mais aucune plainte n’émanait d’elle. Je crois bien qu’elle était définitivement domptée et que son statut d’esclave et de pute était dorénavant totalement acquis.

C’est une Eliane matée et épuisée que nous ramenâmes à l’hôtel. Epuisée, mais satisfaite.

Notre semaine au Maroc se terminait. Nous allions rentrer chez nous, mais que de chemin parcouru en une semaine. Mon mari avait accepté mon amant et avait même accepté de devenir son esclave. Maintenant appelé Eliane, lui qui n’avait jamais connu d’hommes avait d’ors et déjà sucé cinq bites, s’était fait enculer par ces cinq bites, avait léché le trou du cul de six hommes et goûté leur sperme à tous. Il revenait même circoncis.


Arrivés à la maison, nous nous retrouvions pour la première fois depuis le départ seul mon mari et moi.

-Tu sais, lui dis-je, tout ceci n’est qu’un jeu et on n’est pas obligé de continuer. J’ai passé la plus merveilleuse semaine de ma vie et je n’ai jamais autant joui, mais si tu en as marre on peut tout arrêter.

-Je m’en garderai bien, me répondit mon mari. Moi aussi j’ai joui comme jamais, et je désire fortement poursuivre dans cette voie. Je désirerai même pousser encore plus loin les choses.

-Ta condition d’esclave te satisfait donc pleinement ?

-Non seulement elle me satisfait, mais je ne pourrais plus m’en passer. Jamais je ne pourrais retourner à une vie sexuelle monotone. J’ai trop joui au Maroc.

-Et Jacques dans tout cela ?

-Jacques ? Il n’y a pas de problème avec Jacques, je n’oublie pas que tu m’as offert à Jacques. J’ai accepté d’être son esclave et je désire le rester.

-On devrait peut-être lui demander son avis ?

-Evidemment.

-Bon alors je vais l’inviter ce soir et on discutera de tout cela ensemble.

Le soir vers 19h30 Jacques arriva avec un énorme bouquet de roses à la main.

Apres le dîner, nous étions dans le salon prenant le café quand Jacques nous demanda

-Alors que décidez-vous ?

-Nous avons discuté mon mari et moi et sommes tombes d’accord sur le fait que nous désirions tous les deux continuer sur la voie de ce qui s’est passé la semaine dernière.

-Très bien, mais je ne suis pas une girouette, si je m’engage c’est sur quelque chose de sérieux, le comprenez-vous bien ?

-Oui, nous aussi. Mon mari aime me voir t’appartenir et j’aime le voir te servir.

-Bon, alors voilà mes conditions

-Tu deviens ma femme et ton mari n’a plus voix au chapitre sur la question, il n’aura que la possibilité de te lécher pour te nettoyer comme convenu précédemment et il ne pourra plus te pénétrer. Ceci pour une période d’un mois.

-Il demeure mon esclave et en temps que tel me doit une obéissance absolue. En ma présence il ne sera plus appelé qu’Eliane et aura toujours une tenue féminine que je déciderai. Je choisirai ses partenaires qui seront principalement masculins. Il sera entièrement épilé et devra porter les signes de son appartenance en ma personne. Nous pourrons aussi occasionnellement le prêter à d’autres personnes qui en useront à leur guise et ceci pour des durées indéterminées.

-Un mois c’est un peu long, je ne pourrais pas toucher ma femme d’un mois ?

-C’est à prendre ou à laisser !

-Bon d’accord.

-Totalement !

-J’accepte en tout point.

-Bon, puisque tout le monde est d’accord, nous allons commencer immédiatement. Eliane tu prends tes affaires et tu t’installes dans la chambre d’amis. Carole et moi partagerons évidemment votre ancienne chambre. Tu vas nous servir un cognac, et pendant que nous le dégusterons, tu vas te préparer. La tenue de soubrette que tu portais la semaine dernière convient parfaitement. Par la suite nous étofferons ta garde-robe. Va, et ne reviens que coiffée, maquillée et en soubrette.

-Bien maître.

Une demi-heure plus tard, Eliane fit son apparition, coiffée et maquillée et vêtue en soubrette on aurait vraiment dit une femme.

Jacques et moi étions enlacés dans le canapé comme un couple légitime.

-Sers-nous donc un autre cognac Eliane, lui ordonnais-je.

-Oui, mais d’abord enlève-moi cette robe, ne garde que le tablier et les bas, rajouta Jacques

-Bien maître.

Ceci fait, mon mari tout excité bandait déjà, ce qui avait pour effet de relever le petit tablier blanc.

-Soulève-le entièrement ; qu’on voit bien ta petite bite, lui intima sèchement Jacques.

En fait de petite bite, c’était une vraie grosse queue, tendue comme un arc, que nous dévoila Eliane. De plus le fait de l’avoir fait circoncire dévoilait bien son gland.

-Approche-toi !

-Mets-toi à genoux !

-Oui maître.

-Tu vas nous regarder faire l’amour en te branlant, mais attention tu n’as pas le droit de jouir !

-Bien maître.

Jacques me prit alors dans ses bras et m’embrassa tendrement, je lui rendais son baiser avec passion. J’étais déjà tout excitée. Jacques me fit passer ma robe par-dessus la tête et j’apparus uniquement vêtue de dim-up. Sa main s’aventura vite entre mes cuisses dont il caressa l’intérieur. Pendant ce temps je lui avais enlevé sa chemise et lui caressais le torse. Ma main impatiente s’aventura vite vers son pantalon qui ne fut pas long à tomber. Il bandait déjà.

-Tu vois dis-je à mon mari, regarde bien cette queue, c’est elle qui va me baiser pendant un mois pendant que toi tu seras obligé de te branler. Remercies-en ton maître !

-Merci maître.

-De quoi ?

-Merci maître de bien baiser ma femme.

-Je vais lui faire aimer la queue à ta femme, après elle ne pensera plus qu’à ça comme une vraie pute. Ca te plait que je fasse de ta femme une pute ?

-Oui maître, faites- de ma femme une pute.

-Attention, le mac c’est moi, pas toi.

-Oui maître elle est à vous.

D’entendre ces mots crus m’excitait de plus en plus.

-Pénètres-moi Jacques !

Jacques ne se fit pas prier, il me coucha sur le dos et me prit doucement. Sa queue me pénétra progressivement.

-Regardes, regardes comme je baise bien ta femme. On voit que cette chatte a été faite pour ma queue, pas pour la tienne. Hum, que c’est bon une petite moule. Tu aimerais bien l’avoir hein ? Mais ne rêve pas ! Toi tu auras droit à une grosse bite comme une pute que tu es, fini les femmes pour toi, tu n’es qu’une petite salope et tu te feras bien remplir le cul.

-Oui maître, je me ferai bien enculer.

Jacques me baisait au même rythme qu’Eliane se branlait, si bien qu’ils jouirent en même temps. Jacques dans ma chatte et Eliane par terre.

-Lèches les cochonneries que tu as fait par terre, et après tu nettoieras Carole !

Mon mari s’exécuta. Quel délice de le voir lécher son propre sperme et encore plus celui de mon amant !

-Maintenant va te coucher ! Demain tu nous serviras le petit déjeuner !

-Bonne nuit maître, bonne nuit maîtresse…


Le lendemain, j’avais une surprise pour Eliane.

-Tu sais ma copine Fred ? Et bien je l’ai invitée cet après-midi. Je lui ai expliqué ta nouvelle situation et elle a bien ri. Nous avons pensé Jacques et moi qu’une petite domination féminine te ferait le plus grand bien.

Je jouissais de la situation, connaissant bien l’aversion que mon mari avait pour ma copine Frédérique. Il n’avait jamais pu l’encadrer. Ce serait encore plus dur pour lui de se faire dominer par elle. Fred n’étant pas très belle et n’ayant pas non plus de nombreuses occasions comme celle-là avait accepté des deux mains. De plus mon mari lui avait toujours plu, et je pense qu’elle lui ferait encore payer plus cher le fait de ne s’être jamais intéressé à elle.

Quand Fred arriva, Eliane était en soubrette. Nous reçûmes Fred, Jacques et moi dans le salon. Nous avait rejoins un troisième personnage que Jacques avait trouvé utile pour seconder Fred. En effet, celle-ci novice en la domination ne saurait peut-être pas avoir la bonne attitude, du moins au début. Gilles était très grand, baraqué, chauve et vêtu tout de cuir. Nous prîmes place autour de la table du salon et demandâmes à boire à Eliane. Elle nous servit quatre cognacs. Fred était éberlué.

-Je n’en reviens pas. Ainsi ce n’était pas une blague, tu l’as effectivement bien dressé. Si j’avais pu m’imaginer le voir un jour déguisé en soubrette.

-Quel effet ça te fait ?

-C’est émoustillant, mais pourquoi l’habiller en fille ?

-Un esclave est là pour donner du plaisir, pas pour en recevoir, il doit être passif, et quel meilleur moyen qu’en étant une femme ?

-Evidemment. Mais alors, il va avec des hommes ?

-Oui, nous lui avons fait connaître son premier au Maroc, et depuis il en a déjà connu cinq. Nous avons d’ailleurs tourné une vidéo à son insu pour cette occasion. Tu veux la voir ?

Eliane qui n’était pas au courant pâlit.

-Tu vas voir Fred, elle y a vite pris goût cette petite salope.

Nous mîmes le film en route. Eliane arrivait dans l’arrière salle du souk et Abdul lui mettait sa queue dans la bouche. Fred n’en croyait pas ses yeux, mon mari avec une bite en bouche ! Quand Abdul la lui mit dans le cul, Fred étouffa un petit cri, elle était complètement excitée.

Pendant que la cassette tournait, nous proposâmes à Fred de passer la tenue que nous lui avions achetée pour l’occasion. Fred enfila donc les cuissardes noires, la guêpière en cuir, noire elle aussi, ainsi que les bas de soie assortis. Le clou était l’énorme gode ceinture qu’elle se passa autour de la taille.

-N’est-il pas trop gros s’interrogea t’elle ?

-Ne t’inquiètes pas, au Maroc on l’a habitué à de bons calibres.

C’est vrai que le gode était particulièrement gros. Moulé sur une vraie bite de noir, il en avait la couleur et la taille.

Fred n’était pas très belle avec ses cheveux noirs raides et sa peau blanche, mais de superbes seins et un gros cul lui conféraient une aura érotique magnifiée par sa tenue d’amazone.

Eliane s’était dévêtue ne gardant que ses bas, escarpins, et la petite coiffe blanche autour du front.

-Ouah ! S’exclama Fred, il bande déjà ! Il a l’air d’aimer ça !

-Tu verras, c’est un véritable esclave qui ne jouit qu’humilié.

-En plus c’est vrai il est bien circoncis, quelle belle queue ! Et quel joli petit cul tout rasé !

-Alors comme ça cinq grosses queues y sont passées, Eliane ?

-Oui madame.

-Et bien commence à sucer la mienne, avant de te la prendre dans le cul !

Eliane se mit à genoux et suça avidement l’engin de Fred.

Pendant ce temps Gilles s’était lui aussi déshabillé et faisait passer sa queue sur le cou de mon mari.

Confortablement installés dans le canapé, Jacques et moi jouissions du spectacle tout en échangeant caresses et baisers.

Eliane avalait le membre factice tandis qu’un autre, bien réel, lui courait le long de la joue, s’attardait vers son cou et grossissait de plus en plus.

Eliane suçait maintenant alternativement les deux bites, pendant qu’il en avalait une, il branlait l’autre. Puis Fred se plaça derrière lui et commença à l’enculer. Le latex s’enfonçait progressivement mais inexorablement. Il était malgré mes dires nettement plus gros que tout ce que mon mari avait déjà pris dans le cul. Petit à petit pourtant, son cul aspira ce sexe, centimètre après centimètre Fred pénétrait Eliane pour finalement arriver fiché jusqu’aux couilles. Eliane était à présent entièrement emmanchée. Fred s’immobilisa un instant pour bien apprécier la situation : elle enculait mon mari. Puis petit à petit elle s’agita, le membre entrait et sortait de plus en plus vite. Elle arrachait parfois de petits cris de douleurs à Eliane. C’était la première fois qu’elle enculait un homme, alors elle s’y prenait assez mal. Pourtant au bout de quelques minutes elle avait trouvé le rythme et alors la cadence s’accéléra.

T out en prenant de gode dans le cul, Eliane suçait Gilles dont la queue continuait de gonfler comme pour concurrencer la bite artificielle dans un combat perdu d’avance.

Les deux bourreaux échangèrent leurs places et ce fut la queue de Gilles que mon mari prit dans le cul. Sa sixième depuis le début de sa soumission.

Fred tout en se faisant sucer n’arrêtait pas de l’insulter. Elle le traitait comme une pute, l’insultait, lui crachait dessus.

-AVALE MES CRACHATS ! Ouvre la bouche en grand ! Alors elle se raclait la gorge et lui crachait dans la bouche, puis elle y remettait son gode.

Ils rechangèrent une nouvelle fois leur place et maintenant Gilles crachait lui aussi dans la bouche d’Eliane, puis ce ne furent plus des crachats mais une bonne giclée de sperme que Gilles lui envoya au fond de la bouche. Eliane déglutit le tout et Fred sortit enfin de son cul et se fit nettoyer son gode à grands coups de langue.

Epuisés, Gilles et Fred vinrent nous rejoindre sur le canapé. Pendant tout ce temps nous avions fait l’amour Jacques et moi, et c’est entièrement nus que nous accueillîmes Fred et Gilles. Ils ne furent pas gênés, pourtant c’était la première fois que nous nous dévoilions les uns devant les autres. Gilles pas encore rassasié prit Fred qui avait la chatte en feu. Ne voulant pas être de reste, je demandais à Jacques de me prendre aussi. C’est donc à quatre sur le canapé que nous fîmes l’amour, Eliane nous regardant sans rien dire, la queue toujours bandée.

Enfin repus nous commandâmes à Eliane une nouvelle tournée de cognac.

Fred me dit

-A f***e de boire, j’ai envie de faire pipi.

Les WC sont dans la pièce à côté.

-C’est que … Tu m’as bien dit que tu avais fait pipi sur ton mari une fois.

-Ah, je vois où tu veux en venir, tu aimerais bien essayer toi aussi ? Répondis-je en riant.

-Oui.

-Pas de problème, Eliane va s’en faire une joie n’est ce pas Eliane ?

-Oui maîtresse.

-Approche-toi que je te mette ton collier de chien, on va faire ça dans le jardin.

Je lui mis son collier auquel j’attachais sa laisse.

-Tiens, prends le par la laisse et amène le dans le jardin Fred.

Arrivés dans le jardin, Fred s’alluma une cigarette et debout, fit s’approcher mon mari. Elle lui intima l’ordre de coller sa bouche à sa chatte et se soulagea directement dans sa bouche. Parfois quelques gouttes s’échappaient et coulaient sur ses joues, mais Fred d’une violente torsion sur son collier le rappelait à l’ordre. Elle prit touts son temps pour pisser, ne s’arrêtant qu’une fois sa cigarette finie. Mon mari avait tout avalé.

-Maintenant ma pisse est dans ton corps petite chienne, et aujourd’hui chaque fois que j’en aurais envie je te pisserais dans la bouche.

-Oui madame.

Fred et gilles restèrent à la maison pour la nuit. Nous leur prêtâmes la chambre d’ami et Eliane coucha dans le salon. Le lendemain il dût évidemment nous nettoyer nos deux chattes qui avaient été honorées toute la nuit.

Je voyais que Fred prenait un plaisir absolu à dominer l’homme qui l’avait méprisée avant.

-Quel dommage que tout ait une fin, j’ai vraiment adoré dominer ton mari.

-Si tu veux on peut te le prêter un peu.

Devant l’attitude terrifiée de mon mari, j’insistais.

-Tu peux le prendre pour la semaine, ça lui fera du bien de goûter à d’autres maîtres, il finirait par s’encroûter autrement. De nouvelles idées ne peuvent que lui faire du bien.

-C’est vrai ? Comme je suis contente !

I l fut convenu qu’Eliane passerait la fin de la semaine chez Fred.

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